Journal de bord.

La jalousie, ce stupide vice.

On doute d’un amour à partir de quoi ?
Je suis pourtant sûre de ne pas douter de ses sentiments, pourtant, c’est de la jalousie qui m’oppresse. Suis-je possessive ? Sans aucun doute. Je voudrais l’étouffer dans mon amour. Suis-je égoïste ? Sûrement. Je me sens vraiment seule, sans point de rattachement. Je reparle à P. , c’est la fin. Je commence à ne plus ressentir, apathique. La vie est donc formidable ? Fais la moi ressentir. Fais moi vibrer. Retrouverais-je mes sentiments, mes envies, autre que le plaisir d’être délaissée. Il m’aime. Moi aussi.. Non ? La jalousie, un vilain défaut. Je pourrais vous raconter ma vie en détails. Et c’est ce que je fais, par le fond. Je ne connais que la musique, les sentiments, surtout ceux liés à la douleur. Je ne veux plus rien faire, plus rien donner. Je ne veux être rien et tout à la fois. Il faut passer au-dessus de tout ça. Vraiment.