Journal de bord.

Forget all of us

La haine n’est pas si loin de l’amour.
Le désespoir de l’espoir.
Toi de moi ? Non, rien à voir.
Ce comportant puéril traduit par de la rancoeur me concilie dans ma décision de partir.
Peut-être suis-je en train de me tromper mais en tous cas, j’ai vu ton vrai visage, celui des préjugés, celui qui est méchant, mesquin. Je préfère taire la douleur que j’ai ressenti.
Loin de moi l’idée d’écourter nos adieux mais il était temps que ça se termine.
Aujourd’hui tu m’as manqué puis tu m’as reparlé et j’ai su. J’ai su que j’avais pris la bonne décision.