Journal de bord.

Promises

J’ai passé le week-end à Rouen, j’ai fait soirée le samedi soir, j’étais un peu bourrée, je parle vachement avec le meilleur ami de Mathieu, Kévin, et c’est agréable. Mais quand on est en face l’un de l’autre, rien. C’est juste par texto, je sais pas pourquoi.
Je suis plein partiels, je suis fatiguée et j’ai envie de bouffer n’importe nawak.
Valentin est toujours là mais ce n’est pas facile.
Il est encore sorti dans la nuit samedi, finir une demie bouteille de whisky avec des inconnus plutôt que de rester avec nous. Il était complètement torché, et ça m’a fait chier. J’ai envie de pleurer quand je repense à comment je me sens dans ces moments là. Je sais que je ne tiendrais pas longtemps. Et il me fait culpabiliser quand je lui dis que je n’aime pas ça.
Le truc c’est que je ne le comprends pas. Et j’ai l’impression qu’un fossé se trouve entre nous.
Je n’arrive pas à m’attacher à lui, je prends tout dans la tronche, ça fait mal.
Je complexe de plus en plus.
Je me pourris la vie.
J’attends d’importantes rentrées d’argent, j’ai hâte, je vais pouvoir mettre un peu de sous de coté et pourquoi pas envisager des vacances ou une voiture… Ce serait le but ultime de l’année. Déjà, tatouage cet hiver !
J’ai vraiment hâte et je flippe en même temps.
J’arrive plus à travailler.