Blame it on me
Je suis une fan inconditionnelle de George Ezra.
Nous sommes allées visiter un appart mais nous étions tous sous tension.
J’ai beaucoup pleuré. Je ne suis pas allée déjeuner avec eux au resto, non seulement parce que je n’ai pas une thune mais également parce que j’avais besoin de me retrouver avec moi-même. J’en ai profité pour faire le point de notre séparation, de la colère que je ressens, de la peine. J’ai besoin d’aide. Je ne vais pas bien. C’est décidé, à la rentrée je tente une thérapie.
Pour aller mieux. Pour être moi-même.
J’ai beaucoup pleuré, et ça m’a soulagée, seule au bord de la Seine. Perdue.
Soirée ce soir et demain, comment vais-je tenir au vue de la fatigue qui me consume ?
C’est plus moral que physique.
Et j’ai "discuté" avec Valentin.
Je lui ai dit une petite partie de ce que j’avais sur mon coeur, et il m’a dit qu’il m’aimait. Grande claque mais bonheur incommensurable. Je crois ?
J’étais heureuse. Parce que maintenant je sais que je peux avancer un petit peu plus. Je peux essayer.
Voilà pour les nouvelles, rien de bien grandiose hein.